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5 octobre 2013 6 05 /10 /octobre /2013 20:30

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans son entretien de septembre 2013,  au journal italien "La républica",  

 

Bergoglio proclame:

 

"Et moi, je crois en Dieu. Pas dans un Dieu catholique (!!!!), car il n’existe pas de Dieu catholique, il existe un Dieu. Et je crois en Jésus Christ, son incarnation. Jésus est mon maître et mon pasteur, mais Dieu, le Père, Abbà, est la lumière et le Créateur (? Grand Maître de l’Univers ??? franc-Mac le père François ???). Tel est mon Être. Dites-moi, sommes-nous si éloignés l’un de l’autre ? »"

 

que je rapproche de ce qu'il affirme ainsi:

  

"Dieu est lumière qui illumine les ténèbres même s’il ne les dissipe pas, et qu’une étincelle de cette lumière divine est au-dedans de chacun d’entre nous. Dans la lettre que je vous ai écrite, je me souviens vous avoir dit que notre espèce, comme d’autres, s’éteindra mais la lumière de Dieu, elle, ne s’éteindra pas, qui finalement envahira toutes les âmes et alors tout sera dans tous. "

et encore de cela:

 

"chacun doit choisir et suivre le Bien et combattre le Mal selon l’idée qu’il s’en fait"

 

 

Nous devons lui concéder qu'à l'opposé de Ratzinger qui dissimule à l'extrême, à l'instar d'un moderniste classique, sa propre opinion philosophique sous les dehors "d'une religion catholique",  Bergoglio paraît avoir levé pratiquement tous les voiles sur la pensée "religieuse" antichrétienne de l'élite de la secte conciliaire.

 

Ensuite, nous pouvons observer qu'avec lui, le simple curé de base progressiste des années 1960 et 1970 (succédant aux prêtres-ouvriers des années 1950) s'exprime désormais - mais en simple apparence trompeuse - sur la chaire de Rome.

En son langage volontairement simpliste et approximatif, il entend rendre infaillible  une opinion moderniste de la seconde génération:   un modernisme qui ne professe plus l'agnosticisme de la fin du XIX°, mais l'athéisme, (tel que l'annonçait déjà l'encyclique Pascendi),  ni l'immanentisme vital de l'époque, mais un genre de philanthropie  post-moderne. 

S'agissant de ce dernier aspect,  ce  sentiment humain de fraternité le plus instinctif, universel,  et banal est fondamentalement vide ("post-moderne") et en l'espèce,  il use sournoisement du vocabulaire chrétien du Catholicisme et de l'Eglise de "jadis".

Volé par de tels escrocs, ce vocabulaire véhicule dorénavant des notions devenues vides:

En ce sens, que les anciens catholiques ou chrétiens, crédules, niais, et/ou ignares imaginent que leur signification ancienne (catholique) serait toujours d'actualité,

tandis que les néos-païens occidentalisés y  lisent, du fond de l'abîme de péché et d'orgueil où ils ont chû,  la caution éclatante  que le "pape" et les "évêques catholiques" fourniraient à leur apostasie, et à leurs vices narcissiques.

En ce qui concerne le premier aspect, il s'agit d'un crypto-athéisme, car ne serait-ce qu'à cause de la nécessité où est encore la secte conciliaire de donner le change, en continuant à tenir un langage apparement cohérent, religieux, et même "chrétien", il faut bien que Bergoglio et sa mafia épiscopale et théologienne utilise encore les  mots de "Dieu" , de "Jésus" et d'"Eglise", etc. Même si beaucoup sont chassés (en dernier: "pape").

 

Après ces diverses considérations, Voici donc maintenant ce que l'on serait en droit de   

  que les on peut déduire à gros traits des trois citations mentionnées ci-dessus que  Bergolio     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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