(SUITE immédiate du précédent article XXV)
juillet 2, 2013
Cette condition se situe dans le rapport qui existe entre :
— l’existence,
— et l’essence au sein de chaque étant ou substance.
C’est un rapport d’être (réel, en tant qu’acte d’être)
à être (logique, essence formelle)
Car dans chaque étant indivisible concret et physique, si l’essence n’est pas elle-même de l’être, elle ne serait rien.
(‘N.B. C’est en ce sens que j’avais fait part de la remarque qui avait perturbé gravement à tort mon contradicteur, « l’existence de la substance et l’existence de l’essence » et qui se trouve ainsi étayée par un argument d’autorité)
Cependant, en même temps,
L’essence n’est pas de l’être, sous le rapport précis où l’est , l’être.
Sinon elle serait alors infinie comme l’est DIEU.
Au sein de la substance, l’essence a un rapport de restriction, de contraction, elle est un « mode », d’être dit Saint Thomas. Dans un sens métaphorique elle ressemble à une « mesure » d’être, (qui n’est ni quantitative, ni qualitative).
Elles sont analogues aux nombres.
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