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6 février 2015 5 06 /02 /février /2015 23:51

 

 

 

 

 

 

 

 

 Dans le cadre de la "disputatio credo in unam ecclésiam".

 

 

En résumé, dans cette affaire, une extrême minorité de théologiens sont concernés.

 

L'idée selon laquelle le pape pourrait être hérétique "en privé", a été exprimée par quelques théologiens qui ont précisé qu'il ne s'agissait que d'une possibilité, et non d'une probabilité encore moins d'une certitude. 

 

Ensuite, cette opinion ne porte, explicitement, que sur une hypothèse d'école, échafaudée exclusivement dans le domaine non-infaillible, non vérifiée par l'expérience passée (les anti-papes sont exclus), et comme n'étant concevable, pour le futur,  qu'en logique pure.

 

Et encore, cette hypothèse spéculative a trait seulement à une hérésie partielle qui pourrait être formulée par un Pape de l'Eglise, et non dans un cas d'apostasie quasi-universelle, et en dehors d'une situation sui generis de l'éclipse de l'Eglise, qui n'a jamais été réellement étudiée par aucun théologien. 

Elle n'affecterait donc que d'une façon périphérique, le Dépôt de la Foi, qui n'en serait pas du tout remanié ni, encore moins  refondu pour autant, le Dépôt de la Foi de l'Eglise dont l'institution, le culte, et le gouvernement n'en seraient nullement affectés en tout état de cause.

 

Cette opinion marginale appartient intellectuellement à la doctrine théologique relative au Dépôt de la Foi,  et en aucun cas à ce dernier. D'ailleurs ceux qui l'exhument admettent qu'elle ne peut imposer qu'une adhésion à titre d'opinion. Elle est donc oiseuse dans le cadre même de la vie de l'Eglise antérieure à l'éclipse conciliaire.

 

Elle n'est plus une libre opinion mais une erreur depuis 1958.     

 

En effet, la secte conciliaire émanée de Vatican d'Eux, s'est courbée volontairement sous les fourches caudines  roncallo-montiniennees; et sa nouvelle religion  se définit comme une religion institutionnellement "dhimmie" d'un régime antichrétien, au Gouvernement "noachique, au Culte satanique, à la Doctrine "serpillère des Lumières". Dès lors, son supérieur François O ne relève absolument pas d'un quelconque cas de figure répertorié  dans le DTC.

 

François O ne peut être qualifié qu'en vertu des concepts qui sont propres à la religion mythologique, philosophique et civique (selon la distinction donnée par Saint Augustin concernant le paganisme) de sa secte membre des diverses 

cohortes servant un empire mondial néo-archaïque.

Or ce genre de religion primitive n'impose à ses adeptes aucune adhésion personnelle, subjective, émotionnelle ou intellectuelle,à ses divinités et ses rituels. Certains veulent y croire, comme un jeune enfant veut croire au père Noël, sans y croire vraiment. Dans le meilleur des cas, il s'agira d'une herméneutique  de "la continuité ratzingérienne" chère même aux traditionalistes.

 Il n'est donc nullement question de distinction entre hérésie ou orthodoxie, et par conséquent de sous-distinction entre hérésie publique ou d'hérésie privée. Il s'avère donc impensable de prétendre faire un tri en ce domaine.

François n'a pas pour fonction de croire à quoi que ce soit, il reçoit mandat d'exécuter divers rites publics -  sous un déguisement chrétien,  -  en vue de suggérer l'opinion publique occidentale d'intérioriser un vie sociale intégralement asservie ux impératifs de l'Empire.

Quand on est hors-sujet , "là  il n’y a plus question d’opinions"en effet !  

 

Martial. 7 février 2015 

 

 

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4 mai 2014 7 04 /05 /mai /2014 23:05

 

 

 

 

 

 

 

 

I.   VOICI  LA  "FOI"  DE  CEUX DONT  WOJTILA  A  OSE  PROCLAMER  

QU'ILS  SERAIENT LES FRERES AINES DES CHRETIENS !!  

 

Le Magistère infaillible de l'Eglise enseigne ce qui suit:

Dans sa lettre Encyclique Etsi multa luctuosa (1873),
Pie IX assimile les Juifs à la figure de la “Synagogue de Satan”

 

Ainsi, les Juifs, niant la divinité du Christ, et l'ayant condamné à mort dès le commencement de sa vie publique (cf. Saint Jean) constitueront après la chute de Jérusalem un judaïsme talmudique et rabbinique, formant une religion aussi nouvelle que l'est le Christianisme, mais dans son inversion radicale. Un nouveau Canon doctrinal fondera une orthodoxie extrêmement hostile au Christianisme comportant des thèses théologiques  qui expriment une terrifiante et viscérale haine. Par exemple:
« Tous les chrétiens doivent être tués sans en excepter les meilleurs » [Zohar I, 219 b] ; «Le meilleur parmi les Goïm mérite d’être mis à mort» [Abhodah Zarah 26 b Tosephoth] ;
« Efface la vie du chrétien et tue-le. C’est agréable à la Majesté Divine comme celui qui offre un don d’encens» [Sepher Or Israël, 177 b],
Violence qui se fera même horriblement insultante envers N.S.J.C.:
« Fils illégitime, conçu pendant les règles de sa mère » [Kallah, 1b. (18b)] ;
« Mort comme une bête et enterré dans un tas de fiente » [Zohar III, (282)] ;
« Le fils de Pandira, un soldat romain » [Abhodah Zarah II] ;
« A la veille de la Pâque a été pendu. Quarante jours avant cela cette proclamation a été faite : Jésus doit être lapidé à mort parce qu’il a pratiqué la sorcellerie » [Sanhedrin 43a] ;
« Jésus est dans l’enfer, bouillant dans des “excréments chauds” » [Gittin 57a] ,
et la Vierge Marie, dont le caractère immonde et l’abjecte grossièreté haineuse, nous interdisent de l'évoquer davantage. Ceci explique donc pourquoi, selon le pape Pie IX les Juifs représentent aujourd’hui la "Synagogue de Satan"

 

II.  ET VOICI  LA  DEFINITION ET LA SANCTION

QU'EN A TIREES LE MAGISTERE INFAILLIBLE

 

L'Eglise Catholique enseigne ce qui suit:

 

Saint Pie V - Bulle Hebraeorum gens, 4 mars 1569
citée dans : Les Juifs dans le mystère de l'histoire, Abbé Julio Meinvielle, 1964 a écrit:


Le peuple hébreu choisi autrefois par le Seigneur, pour être participant des Célestes Mystères pour avoir reçu les oracles divins, autant il fut élevé en dignité et en grâce au-dessus de tous les autres, autant par la faute de son incrédulité, il fut ensuite abaissé et humilié ; lorsque vint la plénitude des temps, il fut réprouvé comme perfide et ingrat, après avoir, d’une façon indigne, ôté la vie à son Rédempteur. Car une fois perdu le sacerdoce, en lui ayant enlevé l’autorité de la Loi, une fois exilé de son propre pays que le Seigneur très bon lui avait préparé, pays où coulaient le lait et le miel, il marche errant de par le monde voici déjà des siècles, haï de tous, couvert d’insultes et de mépris, obligé comme de très vils esclaves, à entreprendre n’importe quel travail, sale et infâme avec lequel il puisse satisfaire sa faim.

 

La pitié chrétienne, en ayant compassion de cette chute irrémédiable, leur a permis de trouver l’hospitalité au milieu des peuples chrétiens...

Cependant, l’impiété des juifs, initiés à tous les actes les plus pervers, arrive à une telle mesure qu’il est nécessaire, si l’on veut s’occuper de salut commun des chrétiens, de porter rapidement remède à la force du mal.

Car, pour ne pas nommer les nombreuses formes d’usure par lesquelles les juifs agrippent les ressources des chrétiens pauvres, nous croyons qu’il est trop évident qu’ils sont les complices et les receleurs de filous et de voleurs qui, afin qu’on ne reconnaisse pas les choses profanes et religieuses que ceux-ci volent, ou bien les cachent, ou bien les emportent ailleurs, ou bien les transforment complètement. Beaucoup aussi, sous prétexte d’affaires de leur métier propre, rôdent près des maisons d’honnêtes femmes et ils en font tomber beaucoup dans de honteux brigandages ; et ce qui est pire que tout, ils se livrent à des sortilèges et à des incantations magiques, à des superstitions et des maléfices, ils font tomber dans les filets du diable beaucoup de gens simples et de malades qui croient qu’ils prophétisent les évènements futurs, qu’ils révèlent des vols, des trésors, et des choses secrètes, et qu’ils font connaître beaucoup de choses que nul mortel n’a le pouvoir d’explorer.

Enfin, nous savons parfaitement combien indignement cette race perverse tolère le nom du Christ, combien elle est dangereuse pour tous ceux qui portent ce nom, et par quelles tromperies elle sème les embûches contre leur vie.

A la vue de ces choses et d’autres très graves, émus par la gravité des crimes (*) qui augmentent chaque jour le malaise de nos villes, et considérant en outre que ces gens, hormis à quelques provisions qu’ils apportent d’Orient, ne servent à rien à notre République,

Nous ordonnons que, dans les 90 jours, tous les Juifs vivant dans notre royaume terrestre de justice - dans toutes les villes, les districts et les lieux - doivent quitter ces régions.

 

 

III.   MAIS VOILA  LE DOGME MENSONGER QUE WOJTYLA A FABRIQUE :  UNE INVERSION SATANIQUE  !  

 

Wojtyla insère un "papier" où est écrite cette "prière" dans le Mur des Lamentations à Jérusalem en 2000.

« Dieu de nos pères, Tu as choisi Abraham et sa descendance pour porter ton Nom aux Nations : nous sommes profondément attristés par le comportement de ceux qui, au cours de l'histoire, ont fait souffrir Tes enfants. En demandant ton pardon, nous souhaitons nous engager dans une fraternité authentique avec le peuple de l'Alliance. »

  • Un soi-disant pape catholique s'adresse au "Dieu" de ses pères. Si les pères en question sont "spirituels", s'agissant des goyim, pourquoi alors réduit-il ce Dieu (qu'il tutoie comme le fait un hébreu) à un équivalent du seul "Père" en réréfence à la Sainte Trinité?  Ensuite ce Dieu semble n'avoir choisi qu'Abraham et sa descendance hébraïque pour porter son nom aux Nations. Or les goyim doivent aussi évangéliser toutes les nations depuis la nouvelle et eternelle Alliance. En outre en quoi les Juifs actuels portent-ils le Nom aux goyim sinon en leur imposant par la violence le noachisme idéologique, politique, social et économique?  Comment Wojtila pourrait-il demander pardon pour des Catholiques individuels du passé,  -au surplus qui ont souffert au contraire des talmudistes,  - puisque Wojtila n'est pas leur représentant,  et qu'il serait en théorie seulement le représentant de la personne morale de l'eglise, et alros qu'en réalité il n'est que représentant, d'apparence légale, de la personne morale, en 2000, de l'Eglise. Par ailleurs Wojtyla qui ne repésente en fait qu'une personne morale en 2000 qui a évincé la véritable personne morale qu'est l'Eglise Catholique éclipsée, n'a aucune qualité pour avilir sa son apparente fonction de pape  dans une recherche de "fraternité" avec un communauté qui est une alliance totalement étrangère, antichristique et satanique du Peuple de l'Alliance éternelle qu'est l'Eglise Catholique. Dans le cadre de cette folie d'inversion diabolique, on comprend le langage grossièrement mensonger du qualificatif '"authentique" accolé à la notion si corrompue de "fraternité". cette prière est un véritable torchon digne du faux saint jean paul II, et authentique Damné-Wojtila.  

 

 

 

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18 janvier 2014 6 18 /01 /janvier /2014 00:02

 

 

 

 

 

 

 

 

    Afin d'essayer de répondre à la remarque de Francesco,

 

Démasquer de manière complète l'imposture de Bergoglio dans l'emploi du terme "consubstantiel" supposerait en réalité un travail approfondi. Il faut sérier les questions préalables avec méthode pour déblayer le terrain de façon à mettre au jour: 

d'un côté les divers aspects de ce terme, afin d'en saisir "scientifiquement" la signification en théologie catholique.  

 

Et de l'autre, il faudrait pratiquer la même méthode en ce qui concerne les présupposés dissimulés derrière le "discours" de Bergoglio et de ses comparses.

Procéder à cette seconde analyse présentait en outre un certain intérêt  intellectuel quand il s'agissait du répugnant serpent qu'était    Ratzinger,  mais devant le salmigondis superficiel de Bergoglio, l' on reste sans voix.

 

 

Pour comprendre néanmoins en partie les raisons d'être de la formulation orthodoxe de le Sainte Trinité par le Magistère de l'Eglise, il faudrait par exemple considérer les choses suivantes.  

 

De la notion de personne en théologie.

 

En ce qui concerne les êtres humains, la notion de "personne" est moderne; elle signifie une personne physique dotée notamment de conscience, d'autonomie et de raison. 

 

En ce qui concerne la Trinité, la notion de "personne" n'a aucun rapport avec la signification humaine ci-dessus; elle est une traduction du mot "hypostase" servant à désigner la "relation" paternelle , la relation filiale, réelles, que l'intelligence seule distingue de la substance spirituelle singulière qu'est Dieu.

 

En ce qui concerne NSJC, la notion de "personne"  vise l'être concret, unique, doté cependant de la nature divine,  laquelle définit comme divine  sa personne,  et de la nature humaine qui constitue le suppôt humain de ladite personne; lesdites natures étant unies sans séparation ni confusion par l'existence d'une "relation" entre elles. Voir Saint Thomas pour toute cette question. Cette relation est réelle du côté de la nature humaine, (qui s'en trouve donc affectée) et qui est de pure raison du côté de la nature divine, qui ne s'en trouve pas affectée, puisqu'elle est une substance spirituelle, singulière, immuable...  

 

 

 

Le défi de la traduction fidèle des termes théologiques.

 

 

Nonobstant la mauvaise foi, les arrière-pensées, les manipulations et infiltrations des hérétiques, le problème intellectuel, qui était le seul officiellement posé,  puisait ses racines non seulement dans l'interprétation de notions, mais surtout dans la fidèle traduction des mots. Des mots grecs ont traduit la Révélation du NT, des mots grecs appartiennent au vocabulaire de la philosophie grecque des  du 2° au 5° siècles. Exemple "Ousia"

 

Comment les grands Conciles oecuméniques définissent la Trinité. 

 

Dans mon premier message j'ai déjà indiqué le sens catholique du mot consubstantiel concernant la nature divine de Notre-Seigneur  Jésus-Christ.

Ce sens correspond bien à la définition de la substance  physique individuelle (largement développée par Saint Thomas composé d'essence et d'existence). Pourquoi correspond-il bien, non pas en vertu d'un arbitraire ou d'un caprice  du Magistère et du Docteur commun, comme tant de commentaires en référent sans cesse à  "l'autorité" , mais parce le terme grec choisi traduisait fidèlement l'enseignement de  NSJC Lui-même et de tout le Nouveau Testament.  A savoir, l'union  entre Celui qui est nommé "Kurios" Le Seigneur" et que NSJC nomme "abba", et l'être singulier individuel et concret qu'était NSJC lui-même.      

 

Ensuite, le Magistère a énoncé que NSJC était consubstantiel à l'humanité, et aussi en effet qu'il était consubstantiel à la TS Vierge Marie.  Le texte cité par Francesco rappelle fort exactement que le terme "ousia" signifiait à l'époque desdits Conciles, aussi bien la substance physique individuelle, que la substance spécifique et générique.

Donc bien que le terme CONSUBSTANTIEL soit contenu deux fois  dans la même proposition affirmative,  dans le premier cas c'est-à-dire lorsqu'il se rapporte à Dieu, il  vise une substance singulière qui est la substance spirituelle unique et immuable de Dieu,  

et dans la seconde hypothèse lorsqu'il se se réfère à l'humanité, ou à la TSVM (car je ne vois pas de différence entre les deux)  ce mot "consubstantiel" exprime l'appartenance à une espèce , à substance spécifique ou générique: être consubstantiel à l'humanité  - comme je l'avais dit en accusant Bergoglio de dévoyer le sens -  pour NSJC cela signifie que sous le rapport de sa nature humaine il appartient à la même espèce humaine que la TSVM.  

 

 

Je donne sans doute là l'impression de me répéter et de n'avoir rien apporté de nouveau à ce que les lecteurs ont aussi bien compris que moi. Mais Francesco nous interpelle pour  démontrer aussi pourquoi l'emploi du terme de consubstantiel est hautement frauduleux chez les escrocs doctrinaires  à la petite semaine occupant le Vatican.

 

Je me bornerai pour ma part à lancer ici quelques questions et quelles pistes de réflexion:

 

- Est-ce que Bergoglio s'exprime dans un système logique et théologique précis, scientifique, respectant la définition des Personnes de la Sainte Trinité, de même que les dogmes relatifs à la TSVM ? Il suffit de lire la suite de ses déductions scandaleuses sur le "divin" en train de s'épanouir à travers les être humains, pour comprendre que non.

- Bergoglio et ses amis ont vidé de tout sens catholique les termes de Père, Fils et Saint-Esprit, et ont donc supprimé tout l'enjeu que constitue l'intelligibilité du rapport  sui generis et unique entre Dieu et NJSC.

- Je pense qu'en outre Bergoglio n'utilise évidemment  pas le terme "consubstantiel" dans le sens thomiste.

- Quelle est  alors la signification de ce qualificatif dans son discours?  Pour le savoir, il faut se référer à son système philosophique de base qui est métaphysiquement en totalité anti-réaliste, et  qui doit procéder de nébuleuse de la philosophie phénomonélogique.    

- Quel est le sens que donne Bergoglio attribue à l'entité qu'il nomme, sans aucun titre, "Jésus": humain,  humain inspiré, humain intuitif, humain d'exception, etc....???  De ce sens découle le sens du terme "consubstantiel"  aussi bien du côté de Dieu, que de celui de la TSVM 

-  Bergoglio intégre,  et en joue à l'infini, dans son discours trompeur, la part considérable de naïveté des catholiques peu ou pas avertis de la pluralité de sens contradictoires que peuvent revêtir des notions vénérables, saintes et auréolées de tant de gloire que celles des Personnes Trinitaires, et de leurs relations entre elles, etc...Il sait que les naïfs seront dupes de la résonnance catholique en eux,  du mot "consubstantiel"...

- Il me semble aussi qu'il ne distingue pas, à dessein, la double nature dans la personne de NSJC,  dans ce genre d'affirmations (consubstantiel avec... consubstantiel avec ....) pourtant extrêmement lourdes de sens et de conséquences: il suggère surtout  que la consubstantialité  qu'il entretient avec Dieu Notre Père, sous le rapport de sa divinité serait strictement la même que celle qu'il entretient avec l'espèce humaine ou sa TS Mère, sous le rapport de son humanité. Ce que j'indiquais dans mon second message, et que Francesco note a propos du développement terriblement hérétique sur les êtres humains promus en  autant de "noms" divins !

 

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11 janvier 2014 6 11 /01 /janvier /2014 22:18

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je me suis repenché sur cette question très périlleuse et en particulier sur l'article d'Etienne Gilson. 

 

1. Quant à la divinité, Notre-Seigneur Jésus-Christ ne peut pas être " de  même nature " que Dieu Notre-Père,  parce qu'il n'est pas un être individuel  qui serait issu d'une commune espèce divine;    il n'est pas une substance singulière qui serait dotée d'une conscience propre. Toujours sous ce même rapport, il est en réalité une relation de filiation, relation de filiation identique à l'essence de Dieu unique (de même la relation de paternité).

Il est donc De la même " substance spirituelle  , absolument simple, singulière, et immuable"  (traduction française de la définition donnée par le Concile du Vatican en 1870).

 

Substance spirituelle,

en laquelle,   l'intelligence discerne donc   la relation réelle de filiation ,

et en laquelle encore,  la seule raison ,  qui en considérant lesdites relations réelles,

se voit par le fait même, contrainte de les distinguer de l'essence simple et unique de Dieu.

 

 

2. Ensuite le Concile de Chalcédoine en 451, a complété  Nicée  qui a donc enseigné la consubstantialité au Père. Il  professe que NSJC  est aussi  " consubstantiel à nous, les hommes, quant à l'humanité.  Sous ce rapport, il est donc similaire à chaque individu  appartenant à l'espèce humaine.

Mais cela ne signifie pas qu'il serait similaire à l'entité humaine, car Dieu (auquel le Fils est consubstantiel) est substance unique, simple, etc... tandis que l'ensemble humain ne consiste qu'en un agrégat de milliards d'individus, et de substances physiques individuelles.    

 

 

3.  Au regard de cela, alléguer que Notre-Seigneur Jésus-Christ serait "consubstantiel à la Très Sainte Vierge Marie, laquelle est un individu humain, signifierait  la chose suivante :

quant à son humanité, il serait le même individu humain que sa Mère ;  ce qui relève du non-sens psychiatrique;  

mais, quant à sa divinité,  il  appartiendrait à la commune substance divine, à laquelle la TSVM serait donc prétendue appartenir également. Or la TSVM étant un simple être humain, et pourtant de la même nature que son Fils, cela impliquerait que tout être humain serait donc aussi de la même espèce divine.

 

Cet imbro(go)glio délirant, mais sournoisement suggestif, s'inscrit bien dans l'hérésie de Woytilakatz de la soi-disant "union  (idéologique)  à Dieu" de l'humanité par le  seul fait de l'Incarnation.  

La suite du délire sur les "noms" de Dieu est censée illustrer que  "Dieu" consisterait en la somme de tous les individus humains, et  que "la rencontre" entre chaque élément et le tout  serait en devenir continuel, en perfectionnement continuel et reciproque, ainsi que le professait  le Rat Zinger :  plus l'homme devient homme, et plus il devient humain, donc plus "dieu" devient "dieu"  plus il devient humain,  par purification réciproque.  

 

 

Lors de la fête de Noel,  pour ajouter au chaos doctrinal eu égard aux précédentes escroqueries sur la consubstantialité, bergoglio a affirmé superbement  que La TSVM était "Mère de Dieu".

Mais nous, nous savons que lorsque ces crapules répugnantes de mensonge  (auxquelles d'aucuns  accordent encore une légitimité!) disent encore en apparence que NSJC est vrai homme et vrai Dieu, cela signifie dans leur esprit, leur enseignement, et leur pratique, cela:   il serait vrai homme, parce que leur  "vrai  dieu"  serait en réalité de nature  humaine; et  il serait  "vrai Dieu" , parce que la vraie nature humaine serait en fait divine,  reciproquement!   

 

 

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28 décembre 2013 6 28 /12 /décembre /2013 19:39

 

 

 

 

 

 

 

 

Monsieur Bergoglio a déclaré il y a quelques semaines qu'il ne croyait pas à un "Dieu catholique" ! Récemment il vient donc d'illustrer et de prouver cette opinion, en proclamant que la T. S. Vierge Marie serait consubstantielle à Jésus, (sic).

Mais avant de comprendre la portée de cette déclaration, il apparait judicieux de dresser en toile de fond intellectuelle, l'enjeu théologique qu'elle mobilise.

 

1.La Sainte Trinité constitue une des données fondamentales de la Révélation et du Nouveau Testament, et il convient d'en cerner l'intelligence par le truchement de la métaphysique thomiste.

 

Pour ce faire, distinguons bien en préalable les concepts de nature, de personne et de substance.

La  "nature" correspond à "'essence," à la "physis", au "genre", au "concept" (métaphysique), à la définition. C'est le principe qui produit le développement d'un être (à ce titre le concept d'"ontogénétique" est parfois plus pertinent que le simple concept d'ontologique) et qui réalise dans cet etre, un certain "type". Cela vaut pour toutes les choses  de la réalité physico-chimique, "naturelles", mais aussi pour la réalité surnaturelle.

La "personne"  traduit l"hypostasis", le principe fondateur et permanent, opposé à l'essence, à la physis et l'"ousia" grecques, renvoie à la substance aristotéli-thomiste.

 

2.Appliqués à la théologie de la Trinité ces concepts conduisent à affirmer que chacune des Personnes Révélées  est une  hypostase,  substance,  nom substantiel, composée d'une existence et d'une essence d'une nature divine pour la Personne du Père et la Personne du Saint Esprit, et d'une nature divine et d'une nature humaine pour la Personne du Fils.        

 

Dès lors affirmer que le Père et le Fils sont de même nature (divine) est une condition nécessaire pour consentir à la Révélation.

Cependant il importe d'affirmer en même temps, comme le souligne fortement le regretté Etienne Gilson le grand philosophe thomiste cité dans l'article, que le Père, le Fils, et le Saint-Esprit sont trois personnes substantielles qui ont chacune la même nature divine (essence logique) , (outre la nature humaine pour le Fils considéré en son Incarnation) ont aussi la même existence substantielle, d'où leur caractère consubstantiel entre elles. Cela forme la condition suffisante pour consentir à la Révélation  afférente à  "l'unum Deum".

 

 3.Après l'abstraction de cette analyse il est urgent d'en rapprocher les conclusions, de la matière de la Révélation  par l'examen philologique de  l'Ecriture Sainte.

Le Nouveau Testament nous indique que Père est Dieu unique, que le Fils est la personne divine mais concrète de NSJC, unissant en lui le vrai Dieu et une vraie humanité, et que le Saint-Esprit est Dieu qui se communique. Contrairement à ce que soutiennent depuis deux millénaires les hérétiques, les protestants, les modernistes, les conciliaires,  et les pentecôtistes lucifériens actuels, on ne peut observer aucun hiatus entre l'Ecriture et l'analyse thomiste esquissée plus haut.      

 

 

- à suivre -  

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 00:18

 

 

 

 

 

 

 

 

Réponse au message de  "Charles" sur le même fil de discussion du 16 décembre 2013

 

 

Cher Charles, je vous remercie bien au contraire d’avoir rectifié mon analyse, à partir d’une perspective complémentaire très importante. 


 En ce qui concerne les conciliaires, protestants ou autres, qui sont adeptes de ces mouvements charismatiques, et en forment la base,  on doit reconnaitre de simples  manifestations de mentalité magique; et pour ceux qui ont renié ou oublié leur héritage chrétien,  il y a régression du genre du Christianisme, au genre de la religiosité primitive.  
Mais s’agissant des responsables ostensibles, ou en coulisses, de ces mouvances, vous soulignez à juste titre le noir dessein de détruire la Sainte-Trinité, qui ne peut pas ne pas être le leur derrière ce « phénomène ».  

Adultérer le Saint-Esprit, qui n’est pas un quelconque Dieu qui se communique, d’abord,  prétendre l’isoler de Dieu Notre Père et de N.S.J.C. ensuite,  l’assimiler  encore à cette universelle « une force » vaguement panthéiste qui affleure dans le subconscient humain, l’amalgamer enfin à l’expérience psychique exaltée d’adeptes assoiffés de « miracles », tout cela se ramène à une machine de guerre contre l’Incarnation.         

J’ai pu entendre des clercs conciliaires affirmer qu’avant V2, la Personne du Fils était trop omniprésente, et que le fait que le Troisième Personne soit mise en avant  était un soi-disant  »signe des temps ».   Mais le Père Eugène a fait litière de ce genre d’imposture au § 16:  
16. Le Pentecôtisme « catholique » et les Renouveaux charismatiques ou dits « spirituels » portent à croire et même affirment que nous pouvons établir des rapports personnels avec la Personne du Saint-Esprit alors que la justification et la sanctification sont l’œuvre des Trois Personnes divines ensemble ; nous ne pouvons avoir de rapport qu’avec Dieu et non avec une Personne divine exclusivement ; seule la Sainte Humanité de Jésus a des rapports exclusifs avec la deuxième Personne de la Très Sainte Trinité par suite de l’Union hypostatique.

Ce sinistre mouvement n’est donc pas seulement une illumination de digne de cartomancienne de  bas étage,  il consiste aussi et surtout un détournement de la vie spirituelle catholique qui n’est que Trinitaire:  si nous pouvons être réellement effusés de l’Amour du Saint-Esprit, ce n’est que parce que notre âme peut participer surnaturellement à la Vie du Père, et parce que nous  tendons à l’identification, par inhabitation ontologique, au Fils!      

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 00:12

 

 

 

 

 

 

 

 

Parmi les intéressantes observations du Père Eugène de Villeurbanne, j’ai relevé celle-ci :

7. Nulle part il n’y a trace dans l’Écriture que l’événement de la Pentecôte dût être renouvelé à toutes les époques, à tout nouveau peuple ou nouvelle civilisation ou classe sociale, encore moins à tous les particuliers, surtout en faveur des étrangers à la Foi catholique ; usurper cette fonction relève à la fois de l’escroquerie et du sacrilège.

 
La Pentecôte a révélé une chose surnaturelle : le Saint-Esprit a été communiqué concrètement aux Apôtres.
Cette chose surnaturelle a eu lieu : c’est un fait historique.  
Ce fait surnaturel historique comporte un impact ontologique sur l’Église. Pour elle, il a donc  été un événement fondateur, et unique, qui dure dans le temps.


Mais ce n’est pas parce que ses effets perdurent dans le temps, que  cet événement serait devenu un phénomène, qu’il est un phénomène, et pire qu’il aurait été tel  depuis l’origine. Analyser une chose factuelle qui a été un événement unique, en phénomène, c’est l’interpréter comme une chose psychologique, sociologique, culturelle, historique.
C’est indirectement l’assigner dans le monde des apparences, puisque le sens qu’on lui donne est abstrait, analytique ; vite,  il devient un paradigme, un  processus, et même une méthode, un canevas de « pensée » ou plutôt de « ressenti ».  Et l’on serait donc en droit de vouloir le vouloir, pouvoir et même devoir le revivre.
Or n’est-ce pas là la prétention des propagandistes de l’hypnose et de l’auto-hypnose « charismatique » ou « pentecôtiste » ?   »Faire Pentecôte » chez les égarés de la zone géographique occidentale de notre planète,  cela se ramène à simplement reproduire « les scènes d’enthousiasme où le dieu (Isis et Osiris ou Déméter ou Dyonisos) prenait réellement possession de l’âme (la conscience en transe) qui l’invoquait ».
Il faut directement aller à la qualification réelle du phénomène psychologique, car ici c’est bien un phénomène, et donc requalifier culturellement l’apparence religieuse qu’il se donne. Dans le  « pentecôtisme charismatique », rien n’est chrétien, seuls quelques mots sont chrétiens, et seulement parce que les coupables occidentaux de ces simulacres blasphématoires et sataniques évoluent encore hélas au sein de quelques vestiges littéraires et verbaux « chrétiens » !           

 

MARTIAL,

message dans le fil de discussion publié

sur le Catholicapediablog,  sous l'article intitulé "le Pentecôtisme soi-disant catholique" du 16 décembre 2013

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7 décembre 2013 6 07 /12 /décembre /2013 00:05

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L'on en découvrira les raisons profondes, lointaines, intellectuelles, dans le fait que la philosophie réaliste a été supplantée par les philosophies du « sujet », anthropocentriques, agnostiques ou crypto-athées, dès la fin de l’époque médiévale.
S’y ajoute, en ce qui concerne l’élite, noble, bourgeoise, et spécialement ecclésiastique, la substitution de la formation chrétienne qu’elle recevait jusque là, par une formation néo-païenne (cf. les enseignements de Mgr J.J Gaume, voir sur le site des ACRF).
 
Est allée de pair avec cette lente régression religieuse, morale et sociale,  la forfaiture , la trahison, la prévarication,  et la corruption de la majorité des rois catholiques, de la noblesse, et singulièrement du clergé, et ce à partir de la Réforme, laquelle a été suivie par le jansénisme, le libéralisme, etc…
Vers 1700, notez que les messieurs de Saint Sulpice n’enseignent que la philosophie cartésienne et non plus scolastique ! (cf. Jean de Viguerie)
A partir de la Révolution, les idées du Progrès,  du Bonheur (« une idée neuve en Europe ») de l’Egalite, de la Liberté, du Scientisme… ont anéanti foncièrement chez les Européens et donc au sein de la majorité de la Hiérarchie catholique, le sens de la vérité, le concept de vérité, l’origine et la fin de la Vérité.


 Cet empoisonnement  de la raison, de l’esprit,  et du cœur, s’est propagé concrètement sous la forme de facteurs aussi divers que d’un côté, l’exégèse critique de l’Ecriture Sainte,  mais aussi de l’autre le mirage hédoniste associé au progrès technique dans la société, 
de même et surtout du fait de l’absence de toute résistance intellectuelle de la part de l’Eglise, et de toute contre-attaque politique de la part des souverains catholiques libéraux, expliquent la suite de la chute vers l’apostasie.
 
En effet, face à un défi d’une ampleur aussi  « apocalyptique »,  ce sont de telles contre-offensives, donc aussi bien:
doctrinales du niveau de l’œuvre de St Thomas en son temps, que politiques de la nature de celle d’un nouveau  règne de Saint Louis, qui auraient dû fonder et animer la Contre-Réforme Catholique, une Contre-Révolution, un Contre-Modernisme, etc…


Bien au contraire, la Révolution mentale, morale, et affectant la notion même de la nature humaine, opérée entre 1750 et 1958 a été conjuguée sur cette même période à  l’opportunisme, à la  »collaboration », à l’infiltration libérale, marâne et maçonnique de la Hiérarchie, (lire impérativement Mgr Delassus, la conjuration antichrétienne, Ed. St Remi) et dès lors, a été mise en miettes la théologie devenue un verbiage éthique, a été corrompue en fidéisme la spiritualité, a été préparée l’apostasie mentale, théologique, morale et sociale de la Hiérarchie telle qu’elle a été amorcée lors de cette élection en 1958 (nonobstant son trucage évinçant le cardial Siri). 

 


 Voilà pourquoi en 1958,  les cardinaux, titulaires d’un héritage aussi creux, précaire, et termité,  ne possédaient   aucune  des réelles défenses immunitaires de toute nature qu’ils auraient dû détenir,  lorsqu’ils ont été confrontés au coup d’Etat et à la voie de fait qu’a constitué l’exigence des Autorités mondiales de l’époque que Roncalli devienne le premier faux pape de l’église d’EUX!  
M.Jollo, lisez donc les ouvrages référencés sur le site ACRF, que vous a indiqué Cave Ne Cadas,  et si vous savez attendre, alors le Bon Dieu (car il s’agit de Lui, dans cette citation) vous ouvrira la porte. 

Martial,
intervention publiée le 7 décembre  sur le Catholicapediablog, fil "le délire sacré envahit l'église Conciliaire" du 2 décembre 2013
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5 décembre 2013 4 05 /12 /décembre /2013 22:13

 

 

 

 

 

 

 

Réponse à l'objection suivante:

Maria Valtorta, c’est peut être gnan gnan, trop ci trop ca n’empêche que je vous mets au défi de me démontrer une seule erreur théologique.

 

 

Il faut redire que le problème posé ne se situe pas dans le domaine des possibles vérités ou des fréquentes erreurs théologiques dont témoignent les femmes en question.
Car s’il s’agit de connaitre la vérité, Le Magistère, les Pères et Docteurs de l’Église nous offrent tout ce dont nous avons besoin. 
Sur ce plan, et dans le cadre catholique, l’expérience « mystique », et  en particulier ces fameux « témoignages extraordinaires » ne représentent rien intrinsèquement. 
Certes, lorsqu’il s’agit d’expériences émanant d’authentiques catholiques, elles contiennent une utilité spirituelle et pastorale, en tant que modèles.  Mais l’enseignement doctrinal de ceux qu’on appelle spécifiquement  »les mystiques catholiques » n’entretient pas de lien nécessaire, et encore moins de lien de causalité (sinon dans le sens contraire à celui qu’un vain peuple imagine…la « révélation » apporterait une lumière nouvelle sur la Révélation…) avec les faveurs dites extraordinaires qui parsèment accidentellement et superficiellement leur vie intérieure. 

 


 Chacun sait que lorsqu’on dit son chapelet, ou lorsqu’on médite sur les mystères du Rosaire, et a fortiori lorsqu’on prie mentalement à partir d’une scène, ou d’une parole Évangélique, notre esprit oscillera entre la simple attention au Bon Dieu ou à la TSVM, et diverses considérations intellectuelles, ou de multiples représentations imaginaires qui alterneront avec les simples actes de foi que nous devons de manière répétée.
Maintenant, supposons par exemple que l’un quelconque d’entre nous  décide un beau jour de s’arrêter, de s’appesantir, de se complaire narcissiquement sur ces diverses pensées qui hantent normalement et banalement sa prière. Ces pensées sont d’ailleurs tantôt plus ou moins réfléchies, tantôt purement imaginaires, et dérivent aisément, à défaut de reprises en main par les actes de foi que nous devons poser successivement, vers les « distractions mentales » propres à l’âme en état de prière et qui doivent être combattues. 


 Dans cette hypothèse, nous aurons alors le récit de témoignages divers, visions personnelles, intuitions plus ou moins fantasmagoriques bien qu’elles restent cependant dans le cadre des références évangéliques et des Dogmes. Quelle est la valeur de ce récit dans le domaine dogmatique ? aucune.


 Quelle est leur valeur sur le terrain de l’apostolat et de l’exemple ? Pratiquement aucun, puisque ces expériences banales manifestent en réalité une faiblesse congénitale du psychisme humain confronté à l’impact de l’acte de foi qui seul établit sur le plan humain, le contact réel et incréé entre l’âme et Dieu.
Et à cet égard, c’est bien pour ce motif, que la vie de prière doit (ou devrait) être passée au crible d’un directeur spirituel, et ce en premier lieu dans l’intérêt du fidèle concerné, avant que de s’interroger sur l’improbable  qualité  exemplaire de cette vie de prière pour les autres fidèles !  


 Et quelle est la valeur, sur le plan de l’élévation sur les autels de ces personnes ?
En ce qui concerne Valtorta, ou Rosa, ou Faustine, ou Marthe, même si l’une d’elles s’en tient à des affirmations  ou sentiments orthodoxes (ce qui n’est pas le cas pour un certain Vietnamien Marcel Van) quelle est la valeur, quel est l’intérêt de ces témoignages ? à quoi servent ces exemples anecdotiques de religiosité exacerbée chez certaines femmes ? En quoi raconter urbi et orbi avec la bénédiction des J.Guitton, R.Laurentin, etc. patronnés par les Grands infiltrés de la Secte conciliaire, démontrerait une quelconque « sainteté », un spécial charisme (« prophétique ») une singulière nouvelle révélation « pentecostale » chez ces pauvres égarées sciemment encouragées dans leurs illusions d’élection dès ici-bas (ce qui ne préjuge en rien de leur salut réel) ?   

 

 
Cela ne doit pas nous étonner, car alors que la secte conciliaire claironne partout que sa seule utilité serait de servir, –  à l’instar de la dernière souillon passant après toutes les fausses religions, superstitions et idolâtries actuelles, –  le Genre Humain Libre et Égal, cette secte, en tous ses membres conscients et diaboliques ne sert fondamentalement absolument à rien, enfouie dans le propre tas d’immondices en lequel elle se vante de se vautrer comme une prostituée diabolique, car simplement le monde préfère l’original à la copie.
 
Et le monde possède ses originaux, ses maitres, ses valets politiques, ses médias pervers et n’a nul besoin de grotesques copies. Et même il se paiera bientôt le luxe de persécuter en priorité et avec raffinement, ses propres répugnants complices que sont ces ridicules « copies » humanistes et solidaires » : tels les Bergoglio a Rome , 23 points à Paris,  et Fellay à Écône…
Donc à leur petit niveau, les mystiques conciliaires de cette version douce du 20° siècle serviront de paravent  légitimant prochainement la version dure des futures sorcières mystico-satanistes (et "curettes"…) qui ne vont pas tarder à émerger dans la secte… 
 
    


  MARTIAL,

article publié sur le Catholicapediablog, sous le fil intitulé "le délire sacré envahit l'église Conciliaire" en date du 2 décembre 2013'

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5 décembre 2013 4 05 /12 /décembre /2013 22:01

 

 

 

 

 

 

 

 

Comme les fausses mystiques sous forme de visions, de révélations, de mouvements charismatiques, etc., déferlent actuellement dans les milieux catholiques, on peut dire que « le délire sacré » est très en vogue parmi nous. Citons pour seul exemple de nouvelle sibylle, la Mamma Rosa de San Damiano :
ELLE   TRANSMETTAIT     LES  « ORDRES DIVINS »
relatifs à l’envoi de jeunes « en religion ». On assure que des centaines de vocations « tombées du ciel » ont rempli des couvents.
 
 
     1/ L’exemple de la mamma Rosa démontre que dans la nouvelle religion « conciliaire »,  ce qu’il faut appeler chez elle, « la Divinité » (ou le « Mystère », ou « l’Amour Infini », etc., etc.), est connue par l’inconscient, par le subconscient, d’où sont puisées des fables, des informations nouvelles, des images, qui résultent du travail de l’imagination toute-puissante, livrée à elle-même, sans le garde-fou des autres facultés.
Ce travail de l’imagination se nourrit des données historiques et dogmatiques de la Révélation, mais entièrement dévoyées, puisqu’elles sont avilies au niveau de simples symboles exploitables en délire verbal et en transe hypnotique, qui mènent à une exhibition narcissique et au culte de la personnalité de la part des « fidèles » conciliaires assoiffés du merveilleux païen subliminal dans les consciences « modernes ».


      2/ Dans la religion inversée de la secte conciliaire, Dieu n’est plus connu catholiquement dans les facultés nobles du psychisme. Il n’est plus connu par l’acte de volonté du fidèle attestant de la certitude de son intelligence, portant sur la réalité objective, mise au jour par son jugement (intellectuel !) de la transcendance du Dieu créateur exnihilo, Père par le baptême, et Rédempteur par le Saint-Sacrifice. « L’Acte de foi »  qui est la base de la « prière catholique » qui fonde elle-même la sainteté, laquelle démasque cet attrait diabolique pour le merveilleux.   


      3/ La Religion catholique, sa « méthode » si j’ose dire,  et ses instruments humains adéquats, se trouvent ainsi mis entre parenthèse dans le peuple des fidèles,  par les maîtres de la religion d’essence pharisaïque, kabbalistique, maçonnique, en ce qui ces maîtres dissimulés, et de nature noachique, barbare et ensorcelée s’agissant de la masse de leurs créatures avilies. 
 
Or ces maitres respectent en apparence la faculté d’intelligence (à défaut de libres volonté ou jugement) en professant un éclectisme doctrinal. C’est-à-dire en promouvant de grands principes  « d’amour, de liberté, de tolérance, de paix, et de solidarité » censés transcender les singularités culturelles voir même philosophiques des diverses religions. Notamment, c’est pourquoi leurs agents déguisés en « papes » ou « évêques » dans la secte récusent tout syncrétisme dans le dialogue inter-religieux, (ce qui est en partie vrai d’ailleurs !) dans le dessein de mieux voiler  ainsi cet éclectisme. Mais celui-ci est de la plus haute perfidie.


 En effet, simultanément et en réalité s’ils méprisent le new age et les transes vulgaires,  ils récusent tout autant la raison, la volonté, le jugement, et le bon sens, car pour eux la « vérité » qui ne se situe évidemment pas dans l’infra-intellectuel des mamma Rosa, Faustine, Marthe et consorts, ni dans les facultés de « l’intellectuel », se trouve dans le « supra-intellectuel ».  Or c’est par le rite de l’initiation diabolique qu’ils ont accès à ce monde « d’interprétation », monde « SÉPARÉ » (« pharisien ») supérieur, sacré. Ce n’est pas par l’émotion, l’imagination, et encore moins par la raison, mais par le rite symbolique THÉOSOPHIQUE que ces suppôts de Satan et leurs affidés prétendent dominer. Par sa nature symbolique, ce rite d’accès singe la nature réaliste du sacrement catholique. 


 C’est bien pourquoi la secte conciliaire s’est empressée de détruire le Sacre, l’Ordre, la Messe, les Sacrements, et de les remplacer par les délires émotionnels charismatiques, les interprétations imaginaires des hystériques fausses mystiques, et de favoriser dans ce but la propagation de ces diaboliques religiosités. L’exemple a été donné en haut lieu par l’initiation de Wojtyla  aux rites archaïques démoniaques ; cela prouve par  a + b son éclectisme théosophique.  Le ton est désormais donné  par la nouvelle règle des « célébrations festives », par le paganisme des JMJ, et par le narcissisme insupportable de cette ridicule et fausse « joie » qui aurait attendu 2000 années pour éclore enfin dans l’Église. 
S’intégrer au Monde « sous le soleil de Satan », sans savoir ce qu’est « la Joie », pour reprendre les titres de romans de Bernanos.         

 

 

MARTIAL,  article publié sur le Catholicapediablog, fil "le délire sacré envahit l'église Conciliaire" du 2 décembre 2013

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