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26 novembre 2007 1 26 /11 /novembre /2007 21:11

Le christianisme post-métaphysique a-t-il un avenir ? Michel Collin * « Lorsque l'esprit impur est sorti de l'homme, il erre par des lieux arides en quête de repos, et il n'en trouve pas. Alors il dit : « je vais retourner dans ma demeure, d'où je suis sorti. » Étant venu, il la trouve libre, balayée, bien en ordre. Alors il s'en va prendre avec lui sept autres esprits plus mauvais que lui; ils reviennent et y habitent. » (Mt 12, 43–45) Prenant acte du déclin de l'institution ecclésiale dans les démocraties modernes et de l'irréversibilité de la sécularisation, des écrivains, des théologiens, des sociologues en tout genre, s'interrogent avec inquiétude sur l'avenir possible du christianisme. Le christianisme, creuset de notre civilisation, de nos « valeurs », peut-il survivre ou va-t-il se dissoudre dans ce monde « hyper-moderne » qu'il a, pour une part, contribué à faire naître ? Je limiterai ma réflexion à l'étude des œuvres récentes de trois philosophes : Luc Ferry, qu'on ne présente plus, Yvon Brès, professeur émérite à l'Université Paris VII, directeur de la Revue philosophique de la France et de l'étranger au Puf et Gianni Vattimo, professeur à l'université de Turin, éminent et influent philosophe italien. Bien qu'ils viennent d'horizons différents, et même opposés, leur question est pourtant semblable : que reste-t-il du christianisme dans un monde « post-métaphysique », c'est-à-dire dans un monde qui ne croit plus à la possibilité de connaître la vérité comme adéquation de l'esprit au réel ? Pour le premier, une morale humaniste post-religieuse; pour le second, une illusion positive et pour le dernier, la charité. Chacun à sa manière veut garder du christianisme l'essentiel et ainsi faire droit à cette affirmation programmatique de Nietzsche : « J'ai déclaré la guerre à l'idéal anémique du christianisme, non point avec l'intention de l'anéantir, mais pour mettre fin à sa tyrannie... La continuation de l'idéal chrétien fait partie des choses les plus désirables qui soient. » (Volonté de puissance, trad. Albert, § 409). Leurs arguments pourront paraître approximatifs mais leurs positions respectives ont l'intérêt de formuler philosophiquement les opinions spontanées de nombreux chrétiens, clercs ou laïcs, savants ou incultes. Elles vérifient le diagnostic du cardinal Ratzinger selon lequel « le christianisme se trouve, précisément dans le domaine de son extension originelle, en Europe, dans une crise profonde, qui repose sur la crise de sa prétention à la vérité ».1 Trois figures du christianisme à l'âge de la modernité tardive Le christianisme à visage humaniste Les derniers ouvrages de Luc Ferry ont été suffisamment médiatisés pour que je m'attarde à les mettre en situation. Inspirant l'« action » du premier ministre, son intention consiste à réhabiliter pour notre temps sécularisé l'humanisme mis à mal par la pensée 68. Après la déconstruction systématique des concepts de la philosophie moderne, la critique du sujet, de la liberté et de la rationalité, conduisant au relativisme éthique et à l'historicisme le plus sceptique, il est temps en effet d'opérer un retour aux sources du projet moderne. À la lecture de ses livres, et même dès la table des matières, nous sommes immédiatement plongés dans la grande histoire de la pensée et la longue durée philosophique. Sont convoqués au tribunal de la raison présente, « la » sagesse des anciens, « le » christianisme et « le moment » nietzschéen, référence que Ferry n'entend pas abandonner aux « post-modernes » septuagénaires (ou déjà ad patrem : Foucauld, Deleuze, Lyotard...). Au terme de ce procès, nous comprenons bien, nous l'avions d'ailleurs compris dès le principe, qu'il nous est impossible de revenir à une conception antique de la transcendance, bien trop naturaliste et harmonieuse pour nous. Identifiant, en un geste un peu rapide, la physique des anciens et leur métaphysique d'où serait déduite « une éthique de la vie en harmonie avec l'ordre cosmique » (d'où le néologisme de « cosmologico-éthique ») impensable « pour nous Modernes »,2 puis réduisant le christianisme, malgré quelques belles analyses, à une négation de l'ordre rationnel,3 nous voilà reconduits à un « humanisme non-métaphysique ». À ceux qui verraient dans de telles affirmations péremptoires un retour subreptice de l'historicisme honni de la pensée 68 (la vérité serait de part en part historique), il faut répondre qu'ils ignorent l'irréductibilité de notre situation de « Modernes » (sic). Il est vrai que si nous devons faire le deuil du « cosmologico-éthique » ou de la métaphysique, au nom du primat d'une pensée « terrestre » débarrassée des « illusions » de la transcendance, il ne faut pas pour autant s'abandonner à l'« immanentisme » radical selon lequel tout est soumis au devenir. Aussi Luc Ferry propose-t-il une troisième voie entre d'une part, la « spiritualité matérialiste » (re-sic) sous les auspices de Spinoza et de Nietzsche, et en présence d'André Comte-Sponville (auteur de cet apophtegme célèbre « espérer un peu moins, aimer un peu plus ») et, d'autre part, le religieux « modernisé » qui tente de conjuguer, par le concept de théonomie participée,4 la liberté de conscience et l'hétéronomie radicale de la Vérité. Cette troisième voie est celle de « l'humanisme de l'homme-Dieu ». Mais que le lecteur ne se méprenne, cet homme-Dieu n'est pas le Verbe incarné ni l'homme divinisé par la grâce du Christ, même si Luc Ferry avoue que son entreprise consiste à « réinterpréter les principaux concepts de la religion chrétienne ».5 Cet homme-Dieu c'est vous et moi en tant qu'être irréductible à l'existence matérielle et naturelle. Entre l'immanentisme radical du matérialisme et une transcendance fondée réellement en Dieu, l'humanisme de l'homme-Dieu s'ouvre sur une « transcendance dans l'immanence » attestée par l'excès de la liberté humaine, comme puissance « sur-naturelle » indépendante de la matière, et par l'irréductibilité des valeurs (antérieures à ma volonté et impératives). On pourrait s'étonner de telles assertions. Comment en effet « une morale extérieure à la nature et à l'histoire » ne nous reconduirait-elle pas tout droit vers une transcendance proprement métaphysique pour finir par disqualifier l'idéal d'autonomie ?6 Ce serait oublier la supériorité de la foi morale sur la foi métaphysique. Point de fondement réel, un « simple horizon de sens » suffit à l'humanisme moderne pour ne pas sombrer dans les excès du matérialisme relativiste. C'est ce que Luc Ferry nomme également un « humanisme transcendantal » qui ne recherche pas un au-delà en amont de la conscience mais le découvre en aval, dans l'expérience amoureuse par exemple. Un humanisme qui reconnaît sa part de mystère aux valeurs et ne cherche donc pas à les fonder mais se contente de les éprouver. Cette transcendance des valeurs, qui se montre dans l'intimité de la conscience sans se démontrer, relie entre eux les hommes et révèle la part sacrée de l'humain.7 Pourquoi ne pas aller plus loin et reconnaître une transcendance effective ? Parce qu'il faut par principe échapper à toute fondation ultime « sous peine de retomber dans le discours de la métaphysique classique ». On reconnaîtra que ce « par principe » ressemble fort à une pétition de principe. Cette pétition de principe est solidaire de trois présupposés indiscutés et indiscutables pour Luc Ferry. Le premier présupposé est d'ordre philosophique, il interdit définitivement la voie métaphysique vers la transcendance parce qu'« aucune explication causale ne saurait jamais s'achever par la découverte d'une causalité ultime, d'une 'cause première' qui serait 'cause de soi' ».8 On reconnaît ici la vieille thèse de Kant qui soutient l'homogénéité entre la cause et l'effet et donc l'impossibilité de passer du conditionné (des causes elles-mêmes causées) à l'inconditionné (une cause échappant à la série des conditions, donc une cause première, incausée d'ailleurs plutôt que cause de soi). Or pourquoi cette thèse n'est-elle plus jamais discutée et se trouve-t-elle acceptée comme un principe premier évident alors qu'elle est en réalité éminemment discutable ? C'est ici qu'apparaît le deuxième présupposé d'ordre avant tout historique : la modernité constitue un cadre irréversible en même temps qu'englobant. Nous sommes « Modernes », que nous le voulions ou non. Et « être moderne », ce n'est pas seulement être assigné à un certain moment de l'histoire, c'est être intérieurement constitué par son époque. Mais n'y a-t-il pas là une secrète contradiction entre le principe et ses différentes implications ? Ferry soutient une position (la transcendance de l'humain) en vertu d'un présupposé (la raison en l'homme ne peut s'élever au-dessus de son époque) qui la nie. Or, de deux choses l'une, soit le conditionnement historique est tel que nous sommes intégralement les produits de notre temps et donc le matérialisme évolutionniste a raison; soit il y a une transcendance de l'humain, attestée par certaines expériences, et le conditionnement de l'époque n'est pas totalement invincible, dès lors nous sommes en un sens, par l'usage que nous pouvons faire de notre intellect, les contemporains d'Aristote et d'Augustin comme de Kant. Aussi un troisième présupposé est-il nécessaire pour sortir de ces contradictions et pour « fonder » l'humanisme. Ce qui justifie la modernité et condamne comme inutile en même temps que comme dangereuse toute fondation métaphysique, c'est l'horizon démocratique. Non que Ferry ne soit pas lucide sur « la platitude radicale de l'univers démocratique, laïc et désenchanté, lorsqu'il se veut tout entier voué à l'idéologie matérialiste »,9 mais il considère que l'applicabilité d'une philosophie aux attentes de la société démocratique, ou plus exactement à l'idéal démocratique, est l'ultime critère de vérité. C'est donc parce que l'homme moderne devient allergique aux arguments d'autorité et à toute tradition reçue en héritage qu'une restauration de la religion en sa forme est impossible. Mais c'est parce que ce même homme moderne se fatigue de la perte du sens et s'ennuie dans un monde désenchanté que « l'actualité du contenu des Évangiles, en revanche, ne laisse pas de frapper ». Quoi de plus moderne en effet qu'« un discours qui sacralise l'amour et fait de lui le lieu ultime du sens de la vie » ?10 Luc Ferry reproduit ainsi en un seul geste, et probablement sans le vouloir, le mouvement qui va de la conception luthérienne la plus stricte, opposant la foi et la raison, aux thèses du protestantisme libéral. Comme Ferdinand Buisson,11 mais un Ferdinand Buisson qui aurait lu Nietzsche, Luc Ferry aboutit à un humanisme post-religieux, réduisant le divin à un idéal moral présent dans « le cœur des hommes ».12 Ceci n'étant pas une critique, mais plutôt la preuve a contrario de la relation nécessaire de la foi et de la raison en sa dimension métaphysique. On ne saurait pourtant lui reprocher de vouloir s'approprier philosophiquement le contenu du christianisme, car c'est au fond la tâche d'une saine philosophie chrétienne,13 mais en séparant la forme (religieuse) et le contenu (l'humanisme) du christianisme, Luc Ferry reste, en bon kantien, prisonnier d'une conception « pélagienne » de la philosophie14 et fidéiste de la foi. Seule la foi permettrait d'atteindre une transcendance métaphysique (au-delà de la connaissance et de la raison) mais seul l'usage moral de la raison ouvrirait l'homme au salut. Ce faisant, c'est la dimension religieuse du christianisme qui est doublement rejetée : la vie selon la grâce qui rend Dieu réellement présent dans le « cœur des hommes » et les sauve véritablement. Or c'est précisément à cette dimension religieuse qu'Yvon Brès entend faire droit lorsqu'il envisage l'avenir du judéo-christianisme. (Fin de l'extrait.)

 

Ce long extrait du texte de Michel COLLIN publié sur le site KEPHAS commentant la pensée de Luc FERRY  doit nous servir, parmi tant d'autres, de point de référence pour comprendre la nature de la théologie de b16

En effet, 

b16 expose sa théologie d'un certain point de vue selon la méthode apparemment thomiste. Il prétend exposer la Révélation Catholique, si cette notion a un sens dans son esprit, et donc la philosophie qui la sous-ten, dans la forme erronée qui est la grande voie athée et matérialiste. Il discute, et réfute donc les multiples interprétations données par les divers matérialismes, structuralisme, existentialisme, phénoménologie, criticisme, historicisme, constructivisme,

Cela lui permet de manière simultanée et en contrepoint,  d'exposer une réponse qu'il prétend  pertinente; Et Il peut par ce biais rhétorique de faux zèle apologétique , dont la duplicité le dispute à la fouberie ,  insinuer et enseigner d'une manière sournoise ce qu'il allègue être la Révélation et la philosophie catholique moderne.  

Quelle est donc cette conception du soit disant véritable catholicisme? Eh bien c'est une métaphysique idéaliste, et une philosophie qui se rapproche exactement de celle qui est énoncée par un Luc FERRY, c'est une théologie ultra-moderniste, et une spiritualité gnostique.

Or c'est par exemple, et parmi d'autres sources, ainsi que l'on doit comprendre la philosophie de Ratzinger, notamment à la lumière des théories de Luc Ferry. 

 

 

 

 

 

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22 novembre 2007 4 22 /11 /novembre /2007 22:03

 

 

Les pétitionnaires étaient des hérétiques auto-proclamés, c’est-à-dire, des gens qui non seulement n’acceptent pas, mais rejettent et répudient beaucoup de la vérité comme étant révélée par Dieu, affirmée telle par le Magistère de l’Église et appartenant à notre foi catholique. Les églises ou communautés ecclésiastiques auxquelles ils appartiennent ne sont que des branches ayant été séparées du tronc de la seule Église que le Christ a fondée. De telles branches diffèrent considérablement non seulement de nous mais également de toutes et chacune d’elles, en raison de leurs diverses origines, doctrines, et vies spirituelles Remarquez que dans ces trois idées : origines, doctrines et vies spirituelles, se trouve résumée les sources de la Vérité catholique, - c'est-à-dire ma comparaison du "2 + 2 = 4 ", - qu'il convient d'assimiler, et de comprendre pour ensuite, assimiler et comprendre, comme dans un miroir funeste, les origines historiques et les racines intellectuelles de l'erreur enseignée officiellement sous le fallacieux prétexte de V2 ! Le premier terme , ce sont les origines historiques du catholicisme. Le second terme c'est l'explication du monde par Saint Thomas. la synthèse des deux termes, c'est la vie spirituelle authentique catholique, dont la morale et le règne social de NSJC ne sont que des déclinaisons "informées" Or depuis les années 1850 le modernisme affirme que 2 + 2 = 5 c'est à dire qu'il nie les origines historiques du catholicisme, (c 'est donc un faux chiffre 2 ! ) Il rejette l'explication du monde donnée par Saint Thomas, (c'est donc aussi un faux chiffre 2 ! ) - avec comme conséquence, par exemple ,les négations théologiques implicites de la Trinité, et ss b16 nie la Trinité par omission ! et il exclut le total des deux: la vraie vie spirituelle, pour enseigner ( un 5 ! ) un galimatias: le charismatisme, le fraternisme, le syncrétisme, l'opportunisme et autres.

  L'on peut résumer l'acte de Foi catholique ainsi

 

En me parlant (le Fils, le Verbe, )
en s'adressant à mon intelligence ,
et en me révélant la Vérité objective , (emet)
en vertu de laquelle je suis une créature ;

et de cette façon, en me disant ( Saint Esprit, , ruah,)
en s'adressant à ma volonté, qui se soumet,
et en me révélant sa Parole analogue à la tendresse d'une mère pour son enfant (hanan, ahaba, "amour", puis "hessed" - et non pas "éros-agapé" de ratzinger ! )
en vertu de laquelle je peux devenir son enfant

"Je suis celui qui suis" , Dieu,
que mon intelligence reconnait comme Créateur, Celui qui parle,
se révèle à moi, conformément à ma volonté comme un père, comme Père.
l'Etre personnel , transcendant inaccessible, s'est donc inséré dans l'histoire par la Bible et par NSJC,
révèle à chacun de nous, dans nos âmes et nos facultés mentales, sa Sainte Trinité.


Notez bien que le dieu du modernisme en est l'antithèse absolu ;
ce "dieu" est personnel à chaque conscience individuelle de tout croyant.
et la conscience individuelle des Poldèves de la bible, et des premiers chrétiens ne serait , d'apèrs lui, que "la soeur ainée" de la conscience de chaque croyant individuel passé présent ou futur !
Il est donc le même dieu que celui des talmudistes et de l'islam.,
Il n'est pas le nôtre.
Ce n'est pas une question de liturgie

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22 novembre 2007 4 22 /11 /novembre /2007 21:40

en effet elle n'est pas du tout nouvelle ni moderne, au sens propre de ses mots, elle est très antique. Mais ce terme est employé dans le sens qui qui signifie qu'elle n'est pas le Christianisme. on parle aussi de nouvelle cuisine, où on n'a rien à manger dans son assiette , sous une apparence flatteuse ; on peut dire aussi néo christianisme ou christinianisme mondialiste, etc etc sur le plan théologique du talmudisme, elle est en effet le noachisme. Sur le plan de l'histoire et de la sociologie des religions elle est une analogie avec le talmudisme du premier siècle. J'avais exposé cela sur le LFC. Il s'agit d'une analogie sur ce plan. La religion hébraIque authentique vieille de deux millénaires à l'époque, devait par nature nécessairement aboutir et engendre le Christianisme, ce qui a été le cas pour une minorité de juifs qui sont devenus chrétiens en consentant à la divinité de NSJC. Mais cela n'a pas été le cas pour la majorité, qui ont suivi les rabbins, qui avaient déjà perdu le vrai esprit hébraIque de la Révélation et de l'annonce du Messie par les Prophètes! ils ont inventé le talmudisme qui a un esprit mélangeant le paganisme et l'orgueil intellectuel des philosophes grecs ! un comble aujourd'hui pour les juifs qui ont cet esprit ! or au bout de deux millénaires de Christianisme authentique, de façon semblable sociologiquement, une toute petite minorité a conservé la Foi, tandis que les autorités et le peuple sociologique a adopté "une talmudisation" du christianisme. c'est à dire que ce n'est pas la Révélation historique qui compte, c'est la conscience de chaque fidèle qui fabrique sa croyance, comme le talmudiste actuel, le nouveau crétin fabrique sa croyance. Ceci est une preuve expérimentale de la vérité du vrai christianisme des origines qui a réusi, et de l'imposture de la nouvelle religion qui échoue, de même que le talmudisme est une imposture pagano grecque - devenue une mafia fermée, - de l'ancienne religion hébraique qui a réussi en devenant le christianisme . C'est en ce sens analogique qu'il faut comprendre la siimilitude des circonstances d'émergence des deux fausses religions, qui ajoutées à l'émergence de l'islam forment les trois fausses religions talmudiques, deux pour les goym et une réservée pour les non gogyim.

 

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je pense qu'il y a une façon commune de parler du mystere de Dieu Divin, c'est l'obscurite qui entoure le Divin, l'infini, l'au-delà.
et il ya la façon chretienne d'en parler qui est spécifique.

1.-La première manière dit que le domaine de "Dieu" est insondable, par conséquent toutes les religions, les philosophies, les sagesses, les spiritualités se trouvent en quelque maniere a egalite dans ce domaine.
Ceci est un des arguments de la nouvelle religion mise en place sous le prétexte de V2:
sans cesse Subito par exemple a declaré que toutes les religions se rapprochent d'elles même par leur quête vers la plenitude de la verite foncierement inaccessible de Dieu.
Car ces gens-là, se limitent a voir dans le peuple d'Israël, puis dans la primitive Eglise de Pierre, seulement des pionniers, des commençants qui ont une experience inaugurale de la recherche du divin. Cette recherche qui aurait été particulierement riche selon eux, meriterait d'etre qualifiee de "'revelation" de maniere imagée, car cela ne signifie selon eux que ce n'est qu'un prototype de la recherche de tout homme vers Dieu.
En effet, la nouvelle religion enseigne aujourd'hui (théologie, catechese, papes, evêques) que chaque croyant contemporain reçoit une revelation aussi neuve et intemporrelle que celle des antiques hebreux des proophetes ou des apotres de Jesus... Tout le monde est a egalite quelle que soit donc sa secte protestante, orthodoxe, chretinne, et meme dans un degre en dessous talmudique, islamiste, hindou ,boudhiste, fetichiste même...
Chaque individu interprete personnellement et se fait une idee de l'obscurite divine, "du mystere de dieu".

2. la seconde dit tout le contraire, la revelation hebraïque est unique, temporelle, elle est particuliere.
elle porte sur la connaissance par certaines personnes particulieres du peuple hebreu et de l'histoire du Christ, d'une presence non evidente de Dieu, Dieu connu dans son acte de parler a l'homme ("le verbe") mais que l'on peut connaitre par l'intelligence comme l a demontre Saint thomas et que chaque personne de l'enfant au vieillard peut connaitre par la priere qui nourrit la certitude a cette information nouvelle.
Ce que nous demandons au clergé actuel c'est d'enseigner cette certitude, ce qu'il est incapable de faire. La question n'est pas le droit à lerreur de ce clerge qui soi disant pourrait etre "faillible", la question qui lui est opposée c'est qu'il doit avoir la certitude en la revelation. Ce clerge , comme Un medecin doit savoir distinguer la sante de la maladie, qu'il soit valide infaillible ou canonique, est une qualification subsidiaire, que le medecin soit docteur, agree par l'Etat, c'est subsidiaire, s'il ne sait pas distinguer la sante ou s'il confond les maladies, ce n'est pas une erreur à laquelle il aurdait droit au nom de l'incompetence, mais ici c'est qu'il ne peut pas être medecin, il en est de même du clerge qui n'a pas la foi .
le mystere de Dieu est donc un "secret" une realite non evidente de la presence de Dieu Trinitaire, en l'ame. Mais cette presence peut être expose rationnellement avec la logique d'Aristote, ce n'est donc pas une obscurite insondable comme c'est le cas en revanche pour toutes les autres sagesses et religions.

A titre d'illustration voici au hasard un commentaire sur Ste Elisabeth de la Trinite qui parle du mystere de Dieu : j'ai souligne ce qui est important dans la vraie nature de ce "mystere" connaissable mais non evident à l'orgueil spirituel et à la dureté du "coeur" (intellectuel)

[size=9][b]

 en résumé chaque fidèle de base peut comprendre de l intérieur en lui même ,quel que soit son pays , sa race ou son époque, cette présence de Dieu méconnue, non évidente. Mais cette présence de Dieu ne peut être objet de certitude toujours plus claire, au delà de la "nuit " du "dressage" de nos factultés humaines habituées à observer les choses matérielles du monde, qu'en étudiant Notre seigneur dans le Nouveau Testament, et en relisant l'Ancien à la lumière du Nouveau.
Car il ne faut pas prétendre imiter des "pionniers" qui auraient cherché et trouvé la sagesse chrétienne autrefois, pour prétendre trouver une nouvelle sur leur modèle et sur leur exemple .
!ceci c'est la nouvelle religion qui est une dégradation pire que le protestantisme.
C'est de vivre cette Réalité unique et non évidente , qui a eu lieu il y a deux mille ans et trois mille ans, en soi, pour devenir de nouveaux "Christs" mais exactement comme une reproduction humaine et soumise, du Christ et non pas comme de nouveaus petits prophètes en 2007 comme s'imaginent être les abrutis conciliaires!

Le contemplatif est un être qui vit sous le rayonnement de la Face du Christ, qui entre dans le mystère de Dieu, [size=18]non sous la clarté qui monte de la pensée humaine,[/size] mais sous celle que fait la parole du Verbe Incarné


Si j'ai bien compris votre traduction en concepts thomistes,
Cela signifie que l'on est en droit d'attendre du président de la conférence des évêques allemands qu'il ait la Foi en l'Eglise. Pourtant cela ne trouble pas le moins du monde son supérieur hiérarchique, ni ses confrères dans l'épiscopat...Or si l'on est en droit de demander cela chez un modeste fidèle, combient plus, un cardinal doit:
1.-attester, sur tous les plans et de toutes les façons en tous temps et en tous lieux ...Ce qui mobilise la volonté en lui, dans sa relation avec l'Eglise;
2.- qu'il possède la certitude intelligible en l'Eglise, ce qui manifeste le rapport de son intelligence avec l'existence surnaturelle de l'Eglise; (la matière) ;
3.- certitude fondée sur sa réalité ontologiquement surnaturelle (et non pas juridique comme certains semblent le croire), supérieure à l'univers, ce qui exprime la relation expliquant l'acte de certitude envers l'Eglise, (la forme", la réalité divine "informant "la certitude raisonnée, elle -même impliquang des proclamations, attestations, professions, volontaires du fidèle, comme du cardinal...

Lehmann n'atteste pas avoir de conviction intelligente sur l'existence d'une Eglise qui serait plus qu'une association juridique et sociale, car d'ailleurs il dit qu'il ne croit pas au "Christianisme". Il suffit donc de croire encore à un "être suprême" ,officiellement ,pour pouvoir porter encore une soutane à Rome.


En réponse à Parvulus:

.
J'ai moi-même ressenti toujours en moi la même certitude de l'originalité unique de la Révélation chrétienne. J'ai les mêmes sentiments que vous. Mais ce qui est indicible c'est qu'en plus, la mystique chrétienne n'est pas de la mystique naturelle ! c'est logique !

 

Citation:
[/b]
Résumé : Qu'Élisabeth demande à Dieu d'aller plus loin dans la profondeur de son Mystère renouvelle une approche courante du mystère. Le Mystère de Dieu n'est pas une énigme ou une étape vers une connaissance porteuse de salut. Il est le secret d'un excès d'amour, vécu en Dieu et révélé par l'Incarnation du Verbe. Une révélation que Dieu fait à tout homme pour l'inviter à entrer en lui et pour - comme Élisabeth - demeurer chez lui.
Donc, à aucun moment, il ne cherche à préciser où à corriger une mauvaise interprétation de l’auditoire sur sa pensée réelle concernant l’Eglise face à « la stupéfaction de l’animatrice »

Ce qui balaie les distinctions que l’on s’efforce d’établir, par analogie avec Dieu, entre « croire l’Eglise », « croire à l’Eglise » et « croire en l’Eglise » pour tenter de justifier les propos injustifiables de ce marrane

S’il est vrai que par trois expressions différentes, on ne désigne pas divers actes de la foi, mais un seul et même acte ayant diverses relations avec l’objet de la foi. Il faut néanmoins remarquer que selon saint Thomas

L’OBJET DE LA FOI peut se prendre soit

* du côté de l’intelligence elle-même, alors on peut voir deux choses dans L’OBJET DE FOI :

- une est L’OBJET MATERIEL DE LA FOI , de ce point de vue, L’ACTE DE LA FOI consiste à « CROIRE DIEU » puisque rien ne nous est proposé à croire si ce n’est dans la mesure où elle appartient à Dieu

- l’autre est la RAISON FORMELLE DE L’OBJET : c’est comme le moyen à cause de quoi on adhère effectivement à telle et telle chose parmi les réalités à croire, et à cet égard L’ACTE DE FOI consiste à « CROIRE A DIEU » car l’ OBJET FORMEL DE LA FOI c’est la vérité première, et c’est à elle que l’on s’attache pour adhérer par elle à ce qu’on croit.

* soit de la troisième manière en tant que l’intelligence est poussée par la volonté, alors c’est « CROIRE EN DIEU » qui est L’ACTE DE LA FOI : car la vérité première se réfère au vouloir (la volonté) en tant qu’elle s’offre comme une fin.

Dans tous ces cas de figure la foi en l’Eglise nous renvoie invariablement à Dieu

- que ce soit du côté de l’intelligence :

* Pour l’objet matériel puisque c’est Dieu qui nous dit que l’Eglise lui appartient « je bâtirai MON Eglise »

* Pour la raison formelle qui est la raison pour laquelle on adhère à elle « colonne et appui de la vérité" (I Tim III,15)

- que ce soit du côté de la volonté qui meut l’intelligence car Dieu nous enseigne que c’est par elle que s’obtient la fin : le salut de Dieu. « Hors de l’Eglise point de salut »

Citation:
Oui, vous avez raison. Mais n'empêche que c'est la conscience aiguë de cette singularité qui m'a toujous préservé, même aux pires moments de mon incroyance passée, de verser dans les pièges de tous les ésotérismes et occultismes à la mode ou pas, que je n'ai pas manqué de rencontrer sur ma route.

Eh puis, cela me plaît bien, que la vérité ne soit pas qu'affaire de logique! En fait, nous avons le fin mot de l'histoire, puisque Notre-Seigneur nous l'a dit: la Vérité, c'est Lui
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17 mai 2007 4 17 /05 /mai /2007 11:49

surtout que déjà deux longues années ont été perdues. La nomination de Mgr Centène avait soulevé l'espoir qu'une véritable politique dynamique de nominations était à l'oeuvre : plus encore que des textes, c'est cela qui est attendu du Saint-Père. Or il n'en a RIEN été : tout au contraire, plusieurs choix sont des régressions EVIDENTES par rapport aux propositions faites par le MEME Nonce en France, Mgr Baldelli, sous Jean-Paul II. Ce qu'Yves Chiron se garde bien de relever, c'est qu'il y a eu depuis une involution dans plusieurs pays, pas seulement en France. Il est bon de stigmatiser devant les évêques brésiliens, comme vient de le faire Benoît XVI, 25 ans d'errements doctrinaux et pastoraux. Mais il est parfaitement incongru, ce qu'Yves Chiron "oublie" de noter, de nommer à Sao Paulo un des principaux artisans de ces errements, Mgr Scherer. Souhaitons que Mgr Ginoux ne soit pas une hirondelle bénédictine de plus qui n'annonce aucun printemps. Car c'est un vol compact de nombreuses hirondelles dont a besoin l'Eglise qui se meurt en France. En France et ailleurs : le sort de la 1ère Église catholique du monde, le Brésil, est plus important encore. Souhaitons et prions pour que partout, comme avait su le faire avec abnégation et constance Jean-Paul II, l'actuel Pontife ait le courage d'affronter là où c'est nécessaire les démolisseurs d'Eglises. On ne choisit pas des pyromanes pour commander les pompiers.

citation de Luc PERRIN, postée sur le Forum catholique.  

Commentaire:

Le principe du raisonnement est bon, mais il n'englobe pas le Pape, par idée préconçue, c'est pourquoi le jugement obtenu tient de la déploration et de l'incantation. La structure ecclésiastique est une pyramide ; par conséquent elle si elle souffre d'une maladie, celle-ci est unique et globale, et a été inoculée par la tête, et non pas la base.  Le vrai pyromane et le faux pompier c'est depuis un demi siècle maintenant, le Pape :  j23, p6, jp2, b16.   

 

EXEMPLE DU CONCEPT DE MYSTERE DE DIEU

ce "mystere" connaissable mais non evident à l'orgueil spirituel et à la dureté du "coeur" (intellectuel)

[size=9][b]
je pense qu'il y a une façon commune de parler du mystere de Dieu Divin, c'est l'obscurite qui entoure le Divin, l'infini, l'au-delà.
et il ya la façon chretienne d'en parler qui est spécifique.

1.-La première manière dit que le domaine de "Dieu" est insondable, par conséquent toutes les religions, les philosophies, les sagesses, les spiritualités se trouvent en quelque maniere a egalite dans ce domaine.
Ceci est un des arguments de la nouvelle religion mise en place sous le prétexte de V2:
sans cesse Subito par exemple a declaré que toutes les religions se rapprochent d'elles même par leur quête vers la plenitude de la verite foncierement inaccessible de Dieu.
Car ces gens-là, se limitent a voir dans le peuple d'Israël, puis dans la primitive Eglise de Pierre, seulement des pionniers, des commençants qui ont une experience inaugurale de la recherche du divin. Cette recherche qui aurait été particulierement riche selon eux, meriterait d'etre qualifiee de "'revelation" de maniere imagée, car cela ne signifie selon eux que ce n'est qu'un prototype de la recherche de tout homme vers Dieu.
En effet, la nouvelle religion enseigne aujourd'hui (théologie, catechese, papes, evêques) que chaque croyant contemporain reçoit une revelation aussi neuve et intemporrelle que celle des antiques hebreux des proophetes ou des apotres de Jesus... Tout le monde est a egalite quelle que soit donc sa secte protestante, orthodoxe, chretinne, et meme dans un degre en dessous talmudique, islamiste, hindou ,boudhiste, fetichiste même...
Chaque individu interprete personnellement et se fait une idee de l'obscurite divine, "du mystere de dieu".

2. la seconde dit tout le contraire, la revelation hebraïque est unique, temporelle, elle est particuliere.
elle porte sur la connaissance par certaines personnes particulieres du peuple hebreu et de l'histoire du Christ, d'une presence non evidente de Dieu, Dieu connu dans son acte de parler a l'homme ("le verbe") mais que l'on peut connaitre par l'intelligence comme l a demontre Saint thomas et que chaque personne de l'enfant au vieillard peut connaitre par la priere qui nourrit la certitude a cette information nouvelle.
Ce que nous demandons au clergé actuel c'est d'enseigner cette certitude, ce qu'il est incapable de faire. La question n'est pas le droit à lerreur de ce clerge qui soi disant pourrait etre "faillible", la question qui lui est opposée c'est qu'il doit avoir la certitude en la revelation. Ce clerge , comme Un medecin doit savoir distinguer la sante de la maladie, qu'il soit valide infaillible ou canonique, est une qualification subsidiaire, que le medecin soit docteur, agree par l'Etat, c'est subsidiaire, s'il ne sait pas distinguer la sante ou s'il confond les maladies, ce n'est pas une erreur à laquelle il aurdait droit au nom de l'incompetence, mais ici c'est qu'il ne peut pas être medecin, il en est de même du clerge qui n'a pas la foi .
le mystere de Dieu est donc un "secret" une realite non evidente de la presence de Dieu Trinitaire, en l'ame. Mais cette presence peut être expose rationnellement avec la logique d'Aristote, ce n'est donc pas une obscurite insondable comme c'est le cas en revanche pour toutes les autres sagesses et religions.

A titre d'illustration voici au hasard un commentaire sur Ste Elisabeth de la Trinite qui parle du mystere de Dieu : j'ai souligne ce qui est important dans la vraie nature de

 

 

 

LUERNOS.

Citation:

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Résumé : Qu'Élisabeth demande à Dieu d'aller plus loin dans la profondeur de son Mystère renouvelle une approche courante du mystère. Le Mystère de Dieu n'est pas une énigme ou une étape vers une connaissance porteuse de salut. Il est le secret d'un excès d'amour, vécu en Dieu et révélé par l'Incarnation du Verbe. Une révélation que Dieu fait à tout homme pour l'inviter à entrer en lui et pour - comme Élisabeth - demeurer chez lui.

Après avoir demandé à Dieu Trinité de l’aider à s’oublier entièrement pour l’établir en Lui, après avoir désiré que rien ne puisse troubler ma paix, Élisabeth exprime une troisième demande : que chaque minute m’emporte plus loin dans la profondeur de votre Mystère.

Priant avec les mots d’Élisabeth, n’a-t-on pas parfois l’impression d’arriver devant des horizons inconnus ? Un mystère ne nous apparaît-il pas souvent, en effet, comme une énigme à déchiffrer ou l’objet d’une connaissance réservée à quelques initiés ? Ou bien, dans le domaine de la foi, ne considérons-nous pas que les mystères restent absolument inaccessibles à l’intelligence ?
Alors comment une telle compréhension du mystère permet-elle d’entendre ce dont vit Élisabeth ?

Le mot mystère revient une seconde fois dans sa Prière.
S’adressant à l’Esprit Saint elle lui demande : « survenez en moi » afin qu'il se fasse en mon âme comme une incarnation du Verbe : que je Lui sois une humanité de surcroît en laquelle Il renouvelle tout son Mystère.

Apparemment le contexte est différent de celui du début de la Prière (on notera cependant la majuscule à Mystère dans les deux cas). Ici, Élisabeth paraît évoquer le mystère de notre salut : l’Incarnation du Verbe de Dieu et la rédemption qu’il a opérée pour nous. La profondeur de votre Mystère renvoyait plutôt au mystère trinitaire, au mystère de Dieu en lui-même.
Alors un seul mot pour deux réalités ?
Ce n’est sans doute pas ainsi que le vit Élisabeth. Car d’emblée le Mystère lui apparaît moins comme un objet à connaître que comme l’entrée dans un « vivre avec » et même comme un « vivre en ». Ne confie-t-elle pas à l’abbé Chevignard en 1903 une remarque du Père Vallée qui la séduit absolument : « Le contemplatif est un être qui vit sous le rayonnement de la Face du Christ, qui entre dans le mystère de Dieu, non sous la clarté qui monte de la pensée humaine, mais sous celle que fait la parole du Verbe Incarné. » Pour elle le Mystère n’est pas objet, il est relation ; il n’est pas obscur, Il est profond. Or pressentir une profondeur, n’est-ce pas déjà toucher une réalité ?
Et la réalité profonde qui fascine Élisabeth c’est l’amour de Dieu.

en résumé chaque fidèle de base peut comprendre de l intérieur en lui même ,quel que soit son pays , sa race ou son époque, cette présence de Dieu méconnue, non évidente. Mais cette présence de Dieu ne peut être objet de certitude toujours plus claire, au delà de la "nuit " du "dressage" de nos factultés humaines habituées à observer les choses matérielles du monde, qu'en étudiant Notre seigneur dans le Nouveau Testament, et en relisant l'Ancien à la lumière du Nouveau.
Car il ne faut pas prétendre imiter des "pionniers" qui auraient cherché et trouvé la sagesse chrétienne autrefois, pour prétendre trouver une nouvelle sur leur modèle et sur leur exemple .
!ceci c'est la nouvelle religion qui est une dégradation pire que le protestantisme.
C'est de vivre cette Réalité unique et non évidente , qui a eu lieu il y a deux mille ans et trois mille ans, en soi, pour devenir de nouveaux "Christs" mais exactement comme une reproduction humaine et soumise, du Christ et non pas comme de nouveaus petits prophètes en 2007 comme s'imaginent être les abrutis conciliaires!

Le contemplatif est un être qui vit sous le rayonnement de la Face du Christ, qui entre dans le mystère de Dieu, [size=18]non sous la clarté qui monte de la pensée humaine,[/size] mais sous celle que fait la parole du Verbe Incarné. »

 

  LUERNOS

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